Moby-Dick

Vidéo, 2’11, 2025

Herman Melville écrit dans Moby-Dick : « Il n’est aucune bête sur la terre dont la démence ne soit infiniment surpassée par celle de l’homme. » Dans les plis colorés d’un paysage aquatique, traversé par les réminiscences des Nymphéas de Monet, flotte le spectre d’une baleine. Dans une danse lente d’une grâce magnifique, elle demeure pourtant un inquiétant présage.

Herman Melville writes in Moby-Dick: « There is no beast on earth whose madness is infinitely surpassed by that of man.  » In the colourful folds of an aquatic landscape, reminiscent of Monet’s Water Lilies, floats the spectre of a whale. In a slow dance of magnificent grace, it nevertheless remains a disturbing omen.