Vidéo, 5’12, 2025
Catégorie : Œuvres
The Sweet guests
Vidéo, 3’35, 2025
Les animaux sauvages, ces visiteurs du jardin à la lisière de la forêt apparaissent dans toute leur beauté intacte : chauve-souris, martres, chevreuils … Ils sont paisibles, ils semblent libres, comme aux temps où nous vivions avec les non-humaines dans une même « nappe phréatique sensible » (Le Versant animal, Jean-Christophe Bailly).
Wild animals, visitors to the garden on the edge of the forest, appear in all their unspoilt beauty: bats, martens, deers… They are peaceful, they seem free, as in the days when we lived with non-humans in the same « sensitive water table » (Le Versant animal, Jean-Christophe Bailly).
Kitsune
Vidéo, 3’39, 2025
Un insecte nuiteux fouisse dans le sol d’un jardin, une rivière invisible roucoule dans une forêt, le dessin d’arbres couchés semblant évoquer la vision de l’invertébré accueille les pas alertes d’un renard furtif comme un yōkai, esprit de la forêt.
A nocturnal insect burrows into the soil of a garden, an invisible river murmurs in a forest, the drawing of fallen trees seems to evoke the vision of the invertebrate, welcoming the alert footsteps of a stealthy fox like a yōkai, spirit of the forest.
Moby-Dick
Vidéo, 2’11, 2025
Herman Melville écrit dans Moby-Dick : « Il n’est aucune bête sur la terre dont la démence ne soit infiniment surpassée par celle de l’homme. » Dans les plis colorés d’un paysage aquatique, traversé par les réminiscences des Nymphéas de Monet, flotte le spectre d’une baleine. Dans une danse lente d’une grâce magnifique, elle demeure pourtant un inquiétant présage.
Herman Melville writes in Moby-Dick: « There is no beast on earth whose madness is infinitely surpassed by that of man. » In the colourful folds of an aquatic landscape, reminiscent of Monet’s Water Lilies, floats the spectre of a whale. In a slow dance of magnificent grace, it nevertheless remains a disturbing omen.
Mishka enchaîné
Vidéo, 3’52, 2025
Le délice de ce jardin est une vue enchanteresse, paisible comme un tableau de Renoir. À l’instar d’Alice de Lewis Carroll, nous traversons le miroir, le paysage se bistre, bascule dans l’enfer : un ours de cirque divertit la cruauté des hommes.
The delight of this garden is an enchanting view, peaceful like a Renoir painting. Like Lewis Carroll’s Alice, we step through the looking glass, the landscape turns brown, plunges into hell: a circus bear entertains the cruelty of men.
La Danse des sirènes
Vidéo, 6’29, 2025
Une luciole, le ballotement d’une ombre, la danse de méduses,le scintillement nocturne dans le feuillage d’un arbre. Cette trame narrative nous mène vers le visage des soeurs siamoises Hilton, fredonnant la mélancolie de leur cœur brisé par l’amour.
A firefly, the swaying of a shadow, the dance of jellyfish, the night-time sparkle in the foliage of a tree. This narrative thread leads us to the faces of the Hilton conjoined twins, humming the melancholy of their hearts broken by love.
Le Renard de feu
Vidéo, 4’45, 2025
Dans la culture améridienne, le renard est une sentinelle éveilleuse dotée d’une conscience accrue du monde. À l’orée d’un bois, il apparaît ici fantomatique, réminiscence d’une ligature profonde avec la vie sauvage que nous avons perdue.
In Amerindian culture, the fox is an alert sentinel with a heightened awareness of the world. At the edge of a wood, it appears here as a ghostly figure, a reminder of the deep connection with wildlife that we have lost.
Les Rêvoirs
Dessins, aquarelle et huile de lin, 50 cm x 65 cm, 2025


Jane G.
Dessin, technique mixte et aquarelle, 40,5 cm x 59 cm

Simona K.
Dessin, technique mixte et aquerelle, 40,5 cm x 29,5 cm, 2025
